La necessite de coucher via ecrit votre que je ressens semble s’i?tre imposee de maniere imperieuse.
L’ecriture s’est largement democratisee avec Internet. Contrairement a votre qu’on pensait, Sans compter que outre personnes allaient ecrire, se Realiser connaitre, et meme produire leurs propres ouvrages via l’auto-edition.
Lorsque j’avais 10 ans, j’ecrivais tel je respirais et avais ecrit plusieurs nouvelles. Ensuite, j’ai ecrit sur ce blog quelques billets sur des series ou des films.
J’ai poursuivi l’ecriture sur des cahiers, a J’ai maniere “journal intime”, apres l’abandon de ce blog. Pourquoi? le sentiment de manquer de legitimite. Pourquoi parler de quelque chose dans lequel de nos jours tout un chacun peut se prononcer? En quoi ma voix serait-elle utile ? L’ecriture et Notre parole paraissent donnes a bien un chacun, et il semble que leur valeur diminue d’autant. Et cela fera la force tout i l’heure, c’est le groupe, le nombre de personnes qui “likent” ou “retweetent” le propos, nullement necessairement la “voix” qui l’exprime.
Parler pour ne rien dire, ecrire pour ne que dalle affirmer, ou des banalites.
J’ecoutais un podcast sur la situation de confinement en couple, ainsi, c’est le declencheur de ce premier post.
Le podcast evoque les difficultes du couple et Notre posture a adopter en cas de decision de separation durant votre periode, vis a vis du conjoint et des enfants.
La question qui me taraude voili plusieurs temps libre reste : ai-je le desir d’avoir des enfants ? et si j’en ai envie, est-ce une injonction d’une societe, un biais cognitif ou un veritable desir ?
Lorsque j’etais en couple, je l’ai ete pendant 4 annees, nous ne souhaitions jamais envisager le mariage, ni les bambins, tant que une situation ne pourrait etre gui?re “stable”. Nous plaisantions allegrement dans l”occasion que nous avions de devenir “libres de toute contrainte”.
Notre separation n’a jamais ete Complique nos premiers moment, mais s’est faite De surcroit en plus pesante au fur et a mesure que nos mois passaient. J’ai connu une personne qui a tente de me reconcilier avec l’idee du couple, ainsi, je l’aurais cru volontiers si une telle personne avait souhaite aller plus loin. C’etait bien votre que je desirais.
Par depit, par frustration peut-etre, j’ai commis des erreurs ensuite qui m’ont coute tres pas gratuit sur le plan psychologique. Je serais mere celibataire aujourd’hui, si je n’avais pas pris la decision de faire machine arriere. Des que je tombe via un texte critiquant l’intervention volontaire de grossesse, je ne pourrais empecher notre coeur de se serrer.
J’aurais tellement souhaite que nos choses se passent autrement, “normalement” comme Afin de une partie des couples qui accueillent un enfant, sans que les premieres semaines se passent dans une detresse totale, ponctuees de larmes chaque jour que Dieu fasse.
Certes, j’avais La selection mais a quel tarifs? N’etait-ce nullement faire preuve d’egoisme que d’accueillir un enfant dans un environnement monoparental, relativement pauvre Afin de lui, juste concernant le joie d’avoir “son” enfant ?
Si ceci ne s’etait jamais bien, aurais-je envie d’avoir un enfant ? En ai-je i nouveau besoin maintenant? Je n’en suis plus certaine. Je pensais a une epoque que la “liberation” et l’independance en femme se materialisait en particulier via claque qu’elle puisse avoir et elever un enfant seule, sans le carcan d’un couple.
Or, j’ai pu voir de jeunes couples, ayant desire un enfant, ainsi, dont l’education reste prise en charge par chaque membre du couple a parts egales (ou s’efforce de l’etre).
La aussi, mon coeur se serre lorsqu’en depit des vicissitudes en vie, je peux voir qu’un tel projet reste possible.
J’ai rencontre aussi des couples qui ont commande le parti de ne point avoir d’enfant, Afin de eventuelles raisons : la situation economique et sociale, nos bouleversements climatiques, la demographie. D’autres encore ont choisi d’adopter. Plutot que de faire naitre une “bouche a nourrir”, pourquoi ne point aider ceux qu’on a abandonne?
J’aurais aime etre dans la “team option 1” mais ces dernieres positions s’entendent et de maniere raisonnee, je peux me ranger a leurs arguments.
Une fois un certain age passe, il est en mesure de sembler plus rationnel de ne pas avoir d’enfant ou alors d’en adopter.
Se mettre durablement en couple sans jamais avoir d’enfant, qu’il soit adopte ou non, me parait etre du gachis. On abandonne toute initiative de transmission et cela me serre le coeur, encore un coup.
Pour l’instant, je suis dans la “team option 0”, aucune couple, nullement d’enfant. Je suis petrie de paradoxes. Je m’attache aux gens qui ne semblent nullement en capacite d’effectuer des projections Afin de l’avenir et Quand je rencontre quelqu’un qui l’est, j’ai peur de m’engager avec cette personne et je detale en courant.
Je lisais un livre Des specialistes temps libre qui s’intitule “Notre fin de l’amour” d’Eva Illouz. L’auteure met en exergue la consumerisation des relations. Le sexe et la relation avec l’autre de maniere generale est devenu un objet de consommation rapide via nos reseaux type Happn, Tinder, Adopteunmec, etc., sans meme qu’il n’y ait a recourir aux “professionnel(le)s du sexe” ou a des escorts. Selon son etude, la liberte sans entrave emprisonne l’individu dans un cycle sans fin de “non-relations”. L’idee d’apres l’auteure reste que l’on applique le aussi raisonnement qu’avec n’importe quel autre beaucoup de consommation : comme “Si je peux avoir acces a l’ensemble du catalogue Tinder, pourquoi filipino cupid me fixer avec tel ou tel individu?”
Paralli?lement i cela, selon cette dernii?re, ces horizons illimites conduisent a une evaluation lapidaire de n’importe quel individu. “Si 500 autres gens seront disponibles, pourquoi perdre son temps avec une seule personne ?” Le moindre defaut ou petit accroc devient une fin de non-recevoir. Notre habitude du “like” nous rendrait moins patient, moins empathique, plus prompt a “zapper” a n’importe quel moment.
