De nombreux personne n’apprecient nullement celle-ci, moi au contraire je la trouve subjuguante. Dans un ultime effort, c’est l’instant de l’annee ou J’ai nature meurt Afin de apres renaitre au printemps. C’est pour elle un moment de repos pour avoir composer des merveilles durant 8 mois et pour i?tre capable de se preparer a re-exercer sa magie apres l’hiver. C’est le moment ou tout vol en eclat dans un fabuleux bouquet finale. Mais c’est aussi le temps, pour nous etudiant, de reprendre les file.
Nous sommes debut septembre, jour de rentree des classes et debut d’une belle et fabuleuse saison. Depuis le demenagement dans votre nouvelle ville je me sens anxieuse, j’apprehende cette rentree dans un nouveau lycee ou je ne connais personne.
Mon c?ur bat a tout rompre dans ma poitrine et mon regard se perd sans reel interet sur les lignes une route qui deroule devant moi. Ma mere me jette quelques regards discrets de temps a autres dans le retroviseur d’une voiture, l’air inquiet. Elle n’a gui?re cesse la veille de me repeter que tout irait pour le mieux et que i sa place aussi tout ceci etait nouveau. Car et puis d’aller dans un nouveau lycee ou je ne connais personne, la maman va, i§a, y enseigner la geographie. Non nullement que j’ai honte d’elle mais je n’ai nulle envie qu’on me brime avec ceci. J’aime la mere, elle et moi sommes tres amis, elle reste tel une s?ur et je ne l’echangerai Afin de rien au monde. Je tortille faire mes doigts frenetiquement autour en laniere de mon sac de cours et me mord nerveusement la levre inferieure, rongee avec l’inquietude de l’instant.
Amy, tout va bien se marche je t’assure, ne t’inquiete pas.Tu va voir ca va etre top.
Je ne sais jamais si c’est Afin de me rassurer moi ou elle, que la mere me ca, car je sais qu’au fond meme si elle semble imperturbable, elle est profondement inquiete me concernant puis i sa place aussi, apres bien i sa place aussi c’est nouveau, mais je suppose que nos adultes ont plus l’habitude que nous autres adolescents.
– Oui maman, repondis-je machinalement sans vraiment prendre part a la conversation qu’elle venait d’engager.
– Tu vas voir, elles vont toutes t’adorer ! Tu vas te faire des tas d’amis sympas ! Et tu sais les garcons eux tu peux les eviter hein ! Ils vont i?tre pas assez beaucoup Afin de la petite fille cherie d’amour.
Sa voix reste cassee avec son inquietude et cela me stresse encore plus.
J’ignore sa derniere remarque qui me semble tellement stupide, aussi si elle l’a prononce avec un petit rire, je sais qu’elle voudrait tout ainsi que ca soit le cas. Notre voiture s’arrete dans le parking devant le lycee, des jeunes se dirigent de partout en direction de la grande entree. Je prend une grande inspiration avant de me jeter dans cette fourmiliere et m’apprete a ouvrir la portiere d’la voiture lorsque je sens la main de ma mere me retenir via l’avant-bras.
– Et, tu sais que si ils font le moindre probleme tu peux venir me voir en salle des professeurs ou m’envoyer un texto, elle me regarde avec un sourire rassurant.
Je hoche la tronche et ouvre la portiere, je lui fait votre dernier bisou comme si je partais droit aupres du suicide, et sors d’une voiture. Je referme la porte derriere moi, mon esprit se vide soudainement et me concentre sur ma marche et ma respiration Afin de ne point avoir l’aire d’une cruche des mon premier jour. J’avance par l’immense entree du lycee. Notre batiment est assez imposant, de look neo-classique, tel celui qui surplombe la place Miaoulis a Ermoupolis que j’avais decouvert dans un 
des livres ma maman, celui-ci, si je me souviens beaucoup, etait sur la Grece. Une grande statue trone sur l’espace devant la facade du batiment, a bien les coups elle devra representer le fondateur de cet etablissement.
Je remonte la laniere du sac dans mes epaules Afin de reprendre une consistance. Des groupes de jeunes se sont deja formes, par affinites et connaissances passees je suppose, c’est pour cela que s’integrer est complique, meme si je n’ai jamais eu vraiment de mal a me faire des amis, je stresse tel une folle sans le vouloir.
Je m’appelle Amy Van Hossen, j’ai 17 annees et je revient tout juste en terminale. J’ai une s?ur du meme age que moi, nous sommes fausses jumelles, elle se nomme Eva, elle vit actuellement avec notre pere a toutes les Etats-Unis Afin de ne pas qu’il s’y sente seul loin de nous et de la maison. Mon pere s’appelle Thomas et ma mere Alexandra, et on peut dire qu’ils seront fous amoureux l’un de l’autre malgre la distance que un impose actuellement, c’est bien bonnement magnifique, j’habite heureuse de devenir leur fille.
J’habite quelqu’un d’assez discret, gui?re trop extravagante si on prefere. Je mesure environ 1m71, les cheveux blond, actuellement rattaches en une natte en epis de ble sur le cote gauche de facon a votre qu’elle retombe via ma poitrine, mes yeux quant a eux paraissent vert comme ceux ma mere qui elle a la tignasse chatains. Au premier regard on pourrait me prendre pour une simple fille fragile et timide, cependant, j’habite peut etre legerement timide mais surement gui?re fragile, mon pere est lieutenant dans l’armee et a appris toute sorte de technique de combat afin que je puisse me defendre seule di?s qu’il n’est gui?re la concernant le faire, comme c’est mignon, merci papa pour ta surprotection a notre egard. Je pese environ 49 kg et pourrais mettre a terre un gars qui en ferait le double. Cependant, j’essaie de le garder secret, ca pourrait faire peur a toutes les personnes du age et risquerait de detruire toutes faire mes chances de me faire des amis normaux.
